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L’association BANDA BITSI en collaboration avec l’UNESCO ont formé une trentaine de jeunes au réseau Sandwatch

La semaine dernière, des représentants de différentes associations de villes et villages de la grande comores ont pris part dans un atelier de formation sur l’adaptation au changement climatique et la surveillance durable des zones côtières. Une formation organisée par l’association BANDA BITSI et financée par l’Unesco.                                       

Durant quatre jours de formation les participants ont pu bénéficier largement des connaissances théoriques sur les activités humaines dansles plages notamment sur l’érosion, et l’accretion. 

En effet, cette formation va leur permettre de fondre les mesures nécessaires au développement durable dans tous les aspects de l’apprentissage à travers une approche pratique responsabilisant ainsi le citoyen à devenir plus acteur au changement environnemental et social. 

« Les connaissances que nous avons apprises sont d’une nécessité capitale et vont évidemment contribuer à la résilience des écosystèmes côtièrs à travers les actions que vont réaliser les communautés villageoises et en particulier les jeunes », a assuré Djoueria Mradabi l’une des participantes de l’atelier.

Pour Said Ahamada Said alias Tony, Consultant et président de l’association BANDA BITSI, il s’est dit pret à accompagner toutes les associations allant dans le sens du Sandwatch car c’est un combat de tout le monde et on doit faire quelques choses et c’est pour cela qu’ il fait appel à un accompagnement dans tous les sens à savoir le gouvernement, les  bailleurs, le  gouvernorat et surtout les agences du secteur privé. En fin, Tony a aussi affirmé la création désormais à Ngazidja du réseau Sandwatch qui va travailler en permanence avec les communautés locales. 

Pour rappel, le Sandwatch est un réseau ou un programme dans lequel les enfants, les jeunes et les adultes travaillent ensemble pour surveiller scientifiquement et analyser, de manière critique les problèmes auxquels sont confrontés leurs environnements côtiers.

S.A

 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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