Tribune: Vingt deux milliards de nos francs ont été débloqués par les partenaires multilatéraux dont :
Cinq milliards fournis par la banque mondiale.
Six milliards par le conseil d’administration du FMI .
Dix milliards fournis par la banque Africaine de développement.
Ce qui fait un total de vingt deux milliards de nos francs environ.
Ces chiffres montrent une aisance relative des Comores à mieux combattre le Coronavirus.
Pour ce faire la femme Comorienne doit être la cheville ouvrière de toute action allant dans ce sens, car plus sérieueuse et moins corrompue que l’homme.
Cette proposition part à partir des expériences vécues dans la gestion de deniers publics des associations villageoises .
En effet, en leur sein y règne une gestion financière plus saine que chez les hommes, ces derniers ont tendance à confondre les poches .
C’est pourquoi, il serait judicieux de mettre à contribution la femme Comorienne dans la sensibilisation et la gestion éventuelle des moyens déployés pour faire face à cette guerre qui ne dit pas son nom .
L’administration Comorienne n’étant pas étendue sur l’ensemble du territoire , recourrir à la femme peut être une piste à étudier.
Encore faut-il que les moyens soient mis à disposition.
Pour finir de façon générale eut égard à ces moyens évoqués , comment comprendre que nous n’ayons pas suffisamment de respirateurs et d’autres supports visant à nous protéger ?
Si l’on ajoute à ces fonds les aides bilatérales, telle que la chinoise et dans une moindre mesure la française, pourquoi a t-on du mal à faire face à ce virus ?
Moyens humains ou matériels ?
Daoud Halifa
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