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Célébration de la Journée mondiale de la Trisomie 21, « une occasion d’une vraie solidarité avec les familles éprouvées »

Le lundi 21 mars 2022, l’Association Trisomie 21 – Comores (AT21C) a célébré au stade de Missiri-Mutsamudu la Journée mondiale de la Trisomie21 avec pour thème : « Être différents, c’est normal NON ? ».

L’évènement a été honoré de la présence de plusieurs personnalités politiques dont la Déléguée à la Santé de base : madame Baraka Anli Mari, représentant le Gouverneur Anissi Chamsidine, ainsi que par les maires ou leurs représentants.

Les enfants porteurs de la Trisomie 21, accompagnés de leurs parents, étaient au-devant de la scène.

En la circonstance, plusieurs allocutions ont été respectivement prononcées par le représentant du maire de Mutsamudu souhaitant une vraie solidarité aux familles éprouvées, le Point focal de l’AT21C à Anjouan, un chef religieux, un médecin, la maman d’un enfant atteint de la Trisomie 21, le président de l’Association des maires d’Anjouan.

Un enfant atteint de la Trisomie 21 a demandé au maire de sa commune de lui « trouver une formation d’intégration dans la vie active ». Puis, vient l’intervention de la représentante du Gouverneur.

Actuellement, 90 enfants porteurs de la Trisomi21 ont été recensés au niveau de l’île, a-t-on noté. Cependant, il est invité aux familles de briser le silence et aux maires d’accompagner les initiatives relatives à la réussite, à l’insertion scolaire, sociale et professionnelle de ces enfants, a-t-on insisté.

La Déléguée à la Santé, représentant le Gouverneur, qui a été sensible aux différentes interventions a rappelé que l’Exécutif de Ndzuwani déploie, d’ores et déjà des efforts pour soutenir les enfants issus des familles vulnérables parmi lesquels ceux atteints de la Trisomie 21.

Enfin, la Déléguée a aussi saisi cette opportunité pour féliciter le comité d’organisation de la Journée et elle a exprimé les encouragements du Gouverneur à l’endroit de l’équipe soignante des enfants souffrant de cette maladie.

Gouvernorat d’Anjouan

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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