En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.
2 commentaires sur Arrêt sur image : voici ce qui se passe à Ikoni
Il ne se passe rien, là. Une affiche avec des propos de cette nature ne reflète que la liberté d’expression connue des citoyens de cette ville depuis toujours. Une ville où le débat est présent, où la femme comme l’homme a droit de cité. On a vu une jeune femme répondre, en publique, à son cousin et une mère de famille ( Mdzadze mgazidja) s’exprimer à la place principale d’Ikoni. Je crois que deux des trois derniers maires de cette ville sont des femmes. C’est dire qu’ici la femme à un pouvoir insoupçonné. C’est une ville où chacun de ses citoyens a le droit de dire ce qu’il pense et de vivre en toute liberté. Celles et ceux qui ont voulu empêcher le rassemblement de MABEDJA de s’y tenir, ont su démontrer, à leur dépend, qu’à Ikoni la vassalisation ne peut s’implanter. Alors cette affiche n’est pas une nouvelle. Le rassemblement n’a pas été un échec pour les CRCistes mais la preuve d’une cité où la liberté d’expression est enracinée. Pour les comoriens, je voudrais rappeler qu’Inoussa ben imani n’est pas le gouverneur d’Ikoni mais de la banque centrale des Comores pour le peuple comorien. Il fait son boulot en conscience contrairement à certains. De même pour Dahalani avec la direction des ports. Ils ne seront jugés pour avoir fait des institutions qu’ils dirigent, des boutiques citadines mais pour une bonne ou mauvaise gestion.
Il ne se passe rien, là. Une affiche avec des propos de cette nature ne reflète que la liberté d’expression connue des citoyens de ville depuis toujours. Une ville où le débat est présent, où la femme comme l’homme a droit de cité. On a vu une jeune femme répondre, en publique, à son cousin et une mère de famille ( Mdzadze mgazidja) s’exprimer à la place principale d’Ikoni. Je crois que deux des trois derniers maires de cette ville sont des femmes. C’est dire qu’ici la femme à un pouvoir insoupçonné. C’est une ville où chacun de ses citoyens a le droit de dire ce qu’il pense et de vivre en toute liberté. Celles et ceux qui ont voulu empêcher le rassemblement de MABEDJA de s’y tenir, ont su démontrer qu’à Ikoni la vassalisation ne peut s’implanter. Alors cette affiche n’est pas une nouvelle. Le rassemblement n’a pas été un échec pour les CRCistes mais une preuve d’une ville libre.
Il ne se passe rien, là. Une affiche avec des propos de cette nature ne reflète que la liberté d’expression connue des citoyens de cette ville depuis toujours. Une ville où le débat est présent, où la femme comme l’homme a droit de cité. On a vu une jeune femme répondre, en publique, à son cousin et une mère de famille ( Mdzadze mgazidja) s’exprimer à la place principale d’Ikoni. Je crois que deux des trois derniers maires de cette ville sont des femmes. C’est dire qu’ici la femme à un pouvoir insoupçonné. C’est une ville où chacun de ses citoyens a le droit de dire ce qu’il pense et de vivre en toute liberté. Celles et ceux qui ont voulu empêcher le rassemblement de MABEDJA de s’y tenir, ont su démontrer, à leur dépend, qu’à Ikoni la vassalisation ne peut s’implanter. Alors cette affiche n’est pas une nouvelle. Le rassemblement n’a pas été un échec pour les CRCistes mais la preuve d’une cité où la liberté d’expression est enracinée. Pour les comoriens, je voudrais rappeler qu’Inoussa ben imani n’est pas le gouverneur d’Ikoni mais de la banque centrale des Comores pour le peuple comorien. Il fait son boulot en conscience contrairement à certains. De même pour Dahalani avec la direction des ports. Ils ne seront jugés pour avoir fait des institutions qu’ils dirigent, des boutiques citadines mais pour une bonne ou mauvaise gestion.
Il ne se passe rien, là. Une affiche avec des propos de cette nature ne reflète que la liberté d’expression connue des citoyens de ville depuis toujours. Une ville où le débat est présent, où la femme comme l’homme a droit de cité. On a vu une jeune femme répondre, en publique, à son cousin et une mère de famille ( Mdzadze mgazidja) s’exprimer à la place principale d’Ikoni. Je crois que deux des trois derniers maires de cette ville sont des femmes. C’est dire qu’ici la femme à un pouvoir insoupçonné. C’est une ville où chacun de ses citoyens a le droit de dire ce qu’il pense et de vivre en toute liberté. Celles et ceux qui ont voulu empêcher le rassemblement de MABEDJA de s’y tenir, ont su démontrer qu’à Ikoni la vassalisation ne peut s’implanter. Alors cette affiche n’est pas une nouvelle. Le rassemblement n’a pas été un échec pour les CRCistes mais une preuve d’une ville libre.