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Anjouan :Une femme en plein accouchement risque sa vie à UTSA, faute de route.

 

Dans l’archipel des Comores, le village de UTSa à Anjouan demeure un témoignage poignant de l’isolement et des défis auxquels sont confrontées certaines communautés rurales à travers le monde. Une vidéo récemment diffusée sur les réseaux sociaux a attiré l’attention sur la situation critique de ce village, illustrant de manière frappante les limites de l’accessibilité et les risques qu’elles engendrent pour ses habitants.

La séquence montre un groupe de personnes naviguant sur un chemin de terre étroit et sinueux, transportant une femme en travail sur une sorte de brancard improvisé. La personne derrière la caméra, tout en filmant, fournit un commentaire en direct sur la situation :

la femme est en train d’accoucher et est emmenée d’urgence à l’hôpital le plus proche. Cependant, le coeur du problème est révélé par cette situation désespérée : l’absence de route reliant UTSA aux autres villes.

Ce manque criant d’infrastructures routières met en lumière une réalité alarmante – en cas d’urgence médicale, l’inaccessibilité devient une question de vie ou de mort. La personne qui filme implore les autorités de prendre conscience du drame que vivent les habitants d’UTSa et d’agir en conséquence. La vidéo sert de plaidoyer urgent pour la nécessité de développer des infrastructures de base dans des régions jusqu’alors négligées, rappelant que l’absence de routes dans un pays constitue non seulement un danger, mais aussi un frein au développement et à la dignité humaine.

Cet appel à l’action résonne bien au-delà des frontières de l’archipel des Comores, soulignant l’importance vitale de l’accessibilité et des infrastructures dans la promotion de la santé, de la sécurité et du bien-être des communautés isolées partout dans le monde.

ANTUF Chaharane 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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