Le chef de l’État comorien et son fils, le ministre de la télécommunication et le directeur général de Comores Télécom sont entrain de commettre l’irréparable. Ils autorisent la société Asteneria Parteners( zeus Télécom ), une société condamnée à version 700 millions à Comores Télécom les mois derniers, de contrôler les appels internationaux des comoriens.
Au-delà de l’inconstitutionnalité de cette décision, cette dernière va encore mettre la société publique de télécommunication dans le gouffre financier. Aujourd’hui, personne n’ignore que c’est grâce à ces appels que Comores Télécom respire.
Selon des sources concordantes, c’est le fils et conseiller du chef de l’État qui s’occupe de ce dossier. C’est un certain Anfif Mchangama, grand frère du Aziz Mchangama un des communicants d’Azali qui a embarqué El-Fathou sans cette affaire.
L’histoire est un juge. Il y a 12 ans, alors qu’il était ministre des affaires étrangères, l’actuel ministre des télécommunications Ahmed Djanfar avait présenté une telle offre scandaleuse à l’ancien président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Il avait négocié la vente de ces appels internationaux à une société appelée vocal Pad. Soucieux d’une possible faillite de Comores Télécom, le président Sambi avait refusé.
Aujourd’hui, Ahmed Djanffar récidive avec Zeus Télécom, en obéissant le fils du chef de l’État, pour » tuer » la société publique sans avoir même présenté ce projet mafieux au conseil des ministres pour validation
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