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Affaire du nouveau-né sauvé à Bangoma : une exfiltration avortée à l’aéroport de Bandar es Salam

Une tentative de faire quitter discrètement l’île à un nourrisson a été déjouée ce mercredi 19 mars à l’aéroport de Bandar es Salam. L’enfant devait être embarqué sur un vol pour Moroni sans que la personne officiellement chargée de son accompagnement n’en soit informée.

D’après nos sources, une femme dont l’identité reste confidentielle avait sollicité, la veille, l’aide d’un individu pour transporter l’enfant, sans fournir de précisions sur son identité. Mais des acteurs engagés pour que le nourrisson retrouve sa famille biologique ont découvert cette manœuvre. Alerté, le père légitime du bébé, basé à La Réunion, a aussitôt mobilisé ses soutiens.

L’homme chargé du transport, apprenant la véritable identité de l’enfant au moment de l’embarquement, a immédiatement renoncé et restitué le bébé à la personne qui le lui avait confié. La scène a provoqué une onde de choc à l’aéroport, plongeant les protagonistes dans la panique. Finalement, l’enfant n’a pas quitté l’île et a été placé en lieu sûr.

Cette tentative avortée intervient alors qu’une décision controversée, prise deux semaines plus tôt par les autorités locales, refusait de rendre l’enfant à sa famille biologique. L’affaire, déjà sensible, soulève des interrogations éthiques et juridiques qui risquent de relancer le débat sur le sort du nourrisson.


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En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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