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Un enregistrement audio suggère un changement de camp pour Mzimba : vrai ou faux audio ?

Dans le sillage de la validation controversée des résultats électoraux par la Cour suprême, un climat de tension politique se maintient dans le pays. Cette décision, critiquée tant sur le plan juridique que méthodologique, avait préparé le terrain pour une escalade des contestations. Toutefois, l’attitude inattendue d’un membre éminent de l’opposition, Maître Mzimba, avocat de profession, a pris de court l’opinion publique. En déclarant son respect pour la décision de la Cour suprême Mzimba a marqué un tournant surprenant dans la dynamique post-électorale.

Un enregistrement vocal attribué à Maître Mzimba a exacerbé les discussions, révélant une position ambivalente. Dans cet enregistrement, une voix, présumée être celle de l’avocat et politicien, exprime une résignation face à la reconnaissance diplomatique d’Azali, tout en exprimant des inquiétudes sur les troubles potentiels à venir. Cette déclaration soulève des interrogations 

Qui était l’interlocuteur de Mzimba dans cet échange ?

Se pourrait-il qu’il conversait avec un membre du camp présidentiel ?

L’expression de ses craintes face à d’éventuels troubles contestataires et son assurance concernant la reconnaissance internationale de la victoire d’Azali soulèvent des interrogations.

Cependant, la véritable question demeure : est-ce réellement la voix de Mzimba que l’on distingue dans cet enregistrement audio ?

La réaction d’Azali Assoumani à Mirontsy, demandant à ses supporters d’applaudir Mzimba pour son respect de la victoire judiciaire, ajoute une couche d’ironie à la situation. Mzimba, qui a joué un rôle clé dans l’engagement d’une fraction de l’opposition dans le processus électoral et agi en tant que conseiller stratégique pour Salim Issa, du parti Juwa, semble naviguer dans des eaux politiques complexes.

Cette évolution soulève des questions sur la cohésion de l’opposition et la stratégie à adopter face à un paysage politique de plus en plus polarisé. 

Said Hassan Oumouri

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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