L’ancien député Fatah a livré un témoignage sur son agression par la police nationale. Il aurait été tabassé jusqu’à se faire pipi dessus comme un enfant. Toujours selon Fatah, « il n’y a pas de dictature aux Comores mais il y’a seulement des personnes qui abusent de leur pouvoir et qui salissent l’image du président Azali ».
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