En ce moment

Naridayiliwa : accompagnement des français aux Comores pour leurs démarches à l’ambassade.

 

Depuis le 9 juillet 2024, une nouvelle association appelée Naridayiliwa (La Défense de Nos Droits) a été fondée pour soutenir les Français vivant aux Comores dans leurs démarches administratives à l’ambassade de France. Cette initiative est née en réponse aux nombreux obstacles que rencontrent les expatriés français pour obtenir des documents essentiels, tels que les actes de naissance, auprès de leur ambassade.

Les difficultés administratives fréquentes rencontrées par les Français résidant aux Comores ont souligné la nécessité d’une organisation dédiée à la défense de leurs droits. L’avocate franco-comorienne, Maliza Saïd Soilih, a joué un rôle clé dans la création de Naridayiliwa. Consciente des défis auxquels sont confrontés les expatriés, elle s’est engagée à offrir son soutien juridique et administratif à travers cette association.

L’objectif principal de Naridayiliwa est d’accompagner les Français dans toutes leurs démarches administratives, en particulier celles liées à l’ambassade de France aux Comores. Cela inclut l’obtention de documents tels que les actes de naissance, les certificats de mariage et autres documents officiels nécessaires à leur vie quotidienne et professionnelle.

En outre, l’association s’étend également à l’accompagnement des demandeurs de visa, en mettant un accent particulier sur les étudiants. Naridayiliwa offre une assistance précieuse pour naviguer dans les procédures complexes de demande de visa, en s’assurant que les étudiants et autres demandeurs comprennent les exigences et les étapes nécessaires.

Naridayiliwa se positionne ainsi comme un pilier de soutien pour les Français aux Comores, facilitant leurs interactions avec les institutions administratives et diplomatiques. Grâce à l’engagement de Maliza Saïd Soilih et de l’équipe de l’association, les expatriés français peuvent désormais aborder leurs démarches administratives avec une confiance renouvelée et un soutien efficace.

ANTUF Chaharane 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

Soyez le premier à réagir

Réagissez à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


error: Content is protected !!