Soutien au Gouvernement, politique de l’émergence, dissolution de la Cour Constitutionnelle, le secrétaire général du parti Mouvement Républicain des Comores, Moindjié Mohamed Moussa exprime le soutien et son appréciation des actions engagées par le régime Azali. A travers un entretien exclusif avec La Gazette des Comores, Triple M salue les efforts engagés par le régime pour le bien, la paix, la stabilité, la solidarité du pays et le développement.
« Le Mouvement Républicain des Comores (MRC) est un parti qui soutient la mouvance », lance le Secrétaire général Moindjié Mohamed Moussa (triple M). Ce dernier expert en économie à l’industrie pétrolière et gazière, l’ancien Vice-président de Bourhane Hamidou aux dernières élections présidentielles de 2016 salue les efforts que fournit le Président de la République notamment sur la réconciliation et la consolidation de l’Unité du pays. Moindjié a montré que les Comores sont au rendez-vous et ne peuvent pas faire exception car « aucune nation ne s’est bâtie en un jour ». Grand militant de la société, triple M dit glorifie la force déployée par l’équipe du colonel. « Pour le bien, la paix, la stabilité et la souveraineté des Comores, le Président Azali met son mandat en jeu », salue Moindjié.
Triple M explique cette volonté engagée par le Président de l’Union est l’un des points qui ont poussé le MRC à s’allier avec les 23 partis de la mouvance présidentielle. « Maintenant que les Comores ont tous les ingrédients pour construire un pays, le MRC compte jouer le rôle de ciment de la nation en fédérant ses hommes et ses femmes autour d’une même ambition qu’est l’intérêt supérieur du pays sur la base des valeurs de tolérance et de partage de la responsabilité et de la richesse », a-t-il argumenté. Moindjié admet que cette volonté de pousser le pays à l’avant est celle engagée par le Gouvernement d’Azali Assoumani.
Affirmant cette volonté de l’émergence horizon 2030, Triple M explique que le référendum du 30 juillet dernier en est la base. Le Secrétaire général du MRC montre que pour l’organisation de ce référendum, le Président Azali a suivi les recommandations républicaines et citoyennes des Assises Nationales de février. « Le référendum fait partie des prérogatives du Président de la République. Et à cet effet il y’avait deux options : soit par le biais du congrès ou par la voie du peuple et le président a eu recours à la deuxième option pour faire preuve de diligence et de démocratie », a-t-il expliqué. Moindjié s’est indigné contre ceux qui se sont opposés farouchement à l’organisation de ce scrutin en faisant allusion à la force et « à faire couler le sang ».
Dans un autre angle, ce cadre des Hydrocarbures explique que ceux qui accusent le référendum d’être anticonstitutionnel n’ont pas raison car selon lui le pays ne pouvait pas avoir une Cour Suprême et une Cour Constitutionnelle. Expliquant les faits, Moidjié dit faire partie des membres qui ont contribué à la sortie de crise en 2001. « C’est dans la constitution de 2001 qu’on a parlé de Cour Suprême. Et ici on vient nous parler de Cour Constitutionnelle. Vous ne vous êtes jamais demandés pourquoi on parle de Cour Constitutionnelle alors que la constitution, elle, a parlé de Cour Suprême », montre-t-il. Selon lui entre les périodes 2001 et 2002, la Cour Suprême ne pouvait s’installer car les ressources humaines n’y étaient pas donc le Gouvernement de l’époque a jugé nécessaire de mettre en place la CC en attendant que des personnes soient formées et aussi pour éviter de bloquer les affaires courantes. Triple M montre que la mise en place de la C.C servait à l’instauration de l’organe judiciaire.
A.O Yazid / LGDC


Mr Triple M.Dans tous vos bobards,les Anjouanais attendent leur tour en Mai 2021.Ils sont tous des candidats présidentiels.On n’a mare de votre Super-Putschiste Azali Assoumani.
C’est qui ce cloon???
Un vrai suceur de b…