En ce moment

Mamadou appelle à un dialogue politique inclusif aux Comores

Mohamed Ali Soilihi, connu sous le nom de Mamadou, a été élu chef de l’opposition comorienne, malgré sa condamnation à la prison à vie pour son implication dans une affaire de citoyenneté économique. Dans un communiqué de presse publié le 17 février, date anniversaire de la signature des accords de Fomboni de 2001, il a appelé à un dialogue politique inclusif pour restaurer l’ordre constitutionnel et l’État de droit aux Comores.

Mamadou a demandé la libération des prisonniers politiques, y compris l’ancien président Sambi et le gouverneur Salami, ainsi que la participation de la diaspora dans les discussions. Il a également souligné l’importance de la supervision de la communauté internationale pour garantir la transparence et la sincérité du dialogue.

L’opposition comorienne, divisée avant l’élection de Mamadou, s’est réunie pour la première fois sous sa direction. À quelques mois des élections présidentielles de 2024, il a appelé à l’unité pour défendre les idéaux qui fondent les aspirations légitimes de tous les Comoriens.

Mamadou a insisté sur le respect des accords de Fomboni de 2001, qui prévoient une présidence tournante et une certaine autonomie pour chaque île. Selon lui, ces accords sont le socle de l’unité et de la stabilité du pays. Il a appelé à travailler avec détermination pour rassembler tous les Comoriens et rétablir l’ordre constitutionnel et l’État de droit.

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

Soyez le premier à réagir

Réagissez à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


error: Content is protected !!