C’est dans les actes publics/officiels qu’on essaie de soigner son image. Un principe que semble ignorer Soilihi Djae le procureur général de l’union des Comores qui a fait montre de médiocrité dans son français dans le courrier adressé au barreau de Moroni, pour demander la tête de l’avocat de Sambi. 
Si l’objet dudit courrier a défrayé les chroniques, son niveau de français a soulevé des polémiques tant le niveau trop bas, voire les multitudes de fautes de grammaires, sautent facilement aux yeux à tel point que, à moins d’être un observateur avisé de la vie politique au pays, on s’y perdrait dans le sens. Est-ce un cas isolé ? Difficile de penser qu’il n’a fait que signer un chiffon de son secrétariat. À moins qu’il ait également un secrétaire pour son profil Facebook personnel car là aussi, le niveau du français laisse à désirer…
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et alors, ce n’est pas une honte. il est comorien, s’il parlait mal la langue comorienne, je pourrais comprendre la polémique. Les comores est un pays souverain « d’après eux » et doit donc mettre en valeur la maitrise de sa langue et non faire faire l’éloge de la langue du colon. un élu ou un simple comorien n’est pas obligé de maitriser la langue française mais doivent avant tout bien maitrisé la langue comorien. Où peut être les comoriens sont ils nostalgique de l’époque coloniale ou peut être sont ils des larbins des français. je pense que oui.
c’est irréfléchi et irresponsable
C’est le niveau requis pour des faussaires.
Donc ne venez pas vous pleindre.