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«Larifou se prépare à renter dans le maquis dès le 26 mai»

A moins d’une vingtaine de jours de la date du 26 mai 2021, des voix se lèvent. D’ailleurs Said Larifou déclare que « à partir du 26 mai, l’Union des Comores n’aura pas de président légitime. » De ce fait le vice-président du Rddc, Fakihi Mradabi n’a pas tardé de réagir. Said Larifou deviendra un séparatiste rebel à partir du 26 mai 2021, réplique-t-il.


Malgré la nouvelle constitution de 2018, l’opposition réclame le départ du chef de l’Etat le 26 mai prochain. Un rêve selon les partisans du président de la République et les proches du pouvoir. Puisqu’ils s’appuient à la nouvelle constitution laquelle elle donne le président Azali le pouvoir de gouverner le pays jusqu’en 2024 après les présidentielles de 2019. « C’est regrettable que Said Larifou déclare le départ du président Azali le 26 mai prochain pendant qu’il a soutenu les assises nationales qui ont assorti le référendum constitutionnel et ce dernier a permis à Azali de se présenter aux élections présidentielles de 2019 et a remporté haut la main pour un mandat de 5 ans : 2019-2024. Ceux qui appellent le départ d’Azali le 26 mai et des élections en 2021 se trompent », a expliqué Fakihi Mradabi, vice-président du rassemblement de la diaspora pour le développement des Comores.


Le défenseur de la politique du chef de l’Etat comorien en France appelle tous les comoriens à la désobéissance de l’opposition pour la paix et la stabilité dans le pays. Car « Said Larifou se prépare à rentrer dans le maquis dès le 26 mai 2021 », a déclaré Fakihi Mradabi. L’appel du vice-président du Rddc sera entendu, tant il confirme la stabilité où côtoient les forces politiques aux intérêts généraux.


Fakihi Mradabi est musclé pour accompagner la politique du président Azali pour le développement du pays et la stabilité dans le pays. « Contrairement à la politique que je peux oser dire de caméléon de Said Larifou, la majorité silencieuse de la diaspora comorienne, le 26 mai 2021 c’est le début d’une nouvelle aire politique pour accompagner le président Azali à l’émergence à l’horizon 2030 », conclut-t-il. Au final, la leçon est bien comprise et les remarques seront enregistrées, appliquées pour la réussite de l’émergence.


KDBA / Al fajr

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1 commentaire sur «Larifou se prépare à renter dans le maquis dès le 26 mai»

  1. Kweli Fakihi keri matso mais les mensonges deviennent de plus en plus insupportables. Comment ce Mrandabi peut oser nous parler d’assises, de referandun , des législatives comme d’un président jamais élu. La légitimité d’un élu dépend des conditions d’organisation du ou des scrutins. Une égalité de liberté de campagne, une écoute identique sur les médias publiques, une commission électorale neutre ou représentative des partis engagés aux scrutins, un juge élèctorale sans parti pris, des présidents de bureaux de vote non partisans ou respectant la neutralité politique et des assesseurs pour chacun des candidats. A l’issu du vote, le président et les assesseurs doivent procéder aux dépouillement et comptage des bulletins en publique et donner les résultats du bureau. Tout bulletin comptabilisé en déhors du bureau de vote est nul. Il est alors simplet de considérer que le dépouillement des caisses à l’assemblée nationale comme valide. Dès lors le scrutin n’est plus valide et le dit élu est illégitime et illégale. Je ne parle pas des disfonctionnements observés au lendemain de la présidence à 104,43% d’électeurs à savoir la suppression de la cours constitutionnelle par un décret. Alors, RIDJA a raison de dire qu’au 26 mai 2021 le pays ne sera plus présidé l’également et légitimement. Le chef de l’état en cours pourra continuer le pourrissement de la nation avec son nouveau titre de chef de tas. Enfin, le mot émergence, devenu à la mode, est creux. Il n’est utile que pour faire diversion. Comment nous parler d’émergence sans indiquer avec quels outils et moyens nous sortirons la tête de l’eau? Comment croire à ce slogan de campagne sans nous dire à quel niveau de vie nous serons en 2030. Je crois, certainement, que l’émergence est un slogan qui a la mêm valeur que le programme de campagne décliné par AZALI pour la présidentielle de 2016. Un scrutin qui lui a été attribué par BOLERO et HOUMEDI du fait de l’élimination ciblée et organisée contre Fahmi. Le projet était: Tout sauf Fahmi au 2eme tour. Enfin, je préfère un caméleon qui sait rectifier le tir qu’un homme inculte et aveugle e têtu devant le bain de sang qui le noie. Kweli UNAFIKI KORI MATSO, NA DOWA MRANDAMI FAKIHI. YEBA LEWO TSI NDO MWISO PVO MNAFIKI YA TSESHEYAWO MHADALWA? CWIIIIIIIII

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