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L’année blanche, l’épée de Damoclès pour les élèves

Malgré les nombreux appels des autorités centrales, du commissariat à l’éducation de Ngazidja ou de certains enseignants, le syndicat des enseignants du public n’a toujours pas levé le mot d’ordre de grève. Pourtant la situation est devenue très pesante au point que certains responsables syndicaux se font arrêter à commencer par le secrétaire général répondant au nom de Moussa Mfoungoulié. Le ton monte donc entre l’intersyndical et les autorités, mais dans ce brouhaha, ce sont les élèves qui vont payer la facture. Désormais, le mot année blanche est de plus en plus employé par les professeurs. Il ne resterait que deux semaines si le calendrier demeure le même, mais il se dit qu’en cas d’accord, les semaines perdues seraient compensées. Sauf que dans tous les cas, les élèves seront perdants parce qu’ils auront une année blanche  ou des examens catastrophiques aux mieux. Ann »e blanche ou pas, les autorités en charge de l’éducation ont lamentablement échoué.

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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