La drôle de façon des autorités comoriennes à protéger l’environnement

26 octobre 2019 La Rédaction À la une, Actualités, Politique, Santé, Société 1

Après Moroni, c’est au port de Mutsamudu qu’on brûle des sachets plastiques en prétextant qu’ils protègent l’environnement.

Aux alentours de cette fumée suffoquant, on trouve le marché où l’on vend des produits de première nécessité pour la survie de la population.

A cet effet, il n’y a pas un danger atmosphérique ?

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En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

1 commentaire sur La drôle de façon des autorités comoriennes à protéger l’environnement

Salim Abdou 26 octobre 2019 á 16 h 09 min

Brûler n’est pas la solution, car ça pollue plus qu’une fois enfui sur terre, car le processus est lent alors que la fumée nossive est immédiate.
Je préconise le broyage sinon entailler par machette et mélanger dans le ciment sinon briques.
Mais là, vous parlez des sachets importés. Mais mais vous oubliez les vrais pollueurs industriels Comoriens: LES EMBALLAGES À USAGES UNIQUES; des eaux minérales, des Mabawas et Olé Zile de Coca-Cola.
Partager davantage, proposer des lois là-dessus. Merci.

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