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Il fait tuer sa mère et utilise l’argent de l’assurance pour lancer sa carrière musicale

Un jeune rappeur originaire de Chicago a été condamné vendredi à 99 ans de prison pour avoir fait tuer sa mère et utilisé l’argent de son assurance pour lancer sa carrière.

Il se faisait appeler «Young QC» mais en prison, il répondra par son véritable nom : Qaw’mane Wilson. Vendredi, cet Américain de 30 ans a été condamné par un tribunal du comté de Cook à 99 ans de prison pour avoir fait tuer sa mère. En 2012, alors âgé de 23 ans, il avait embauché un tueur à gages – lui-même condamné à 100 ans de prison – pour assassiner Yolanda Holmes.

Eugene Spencer, le meurtrier, s’est rendu au domicile de la victime à Chicago, accompagné de la petite amie de Qaw’mane Wilson. Il lui a tiré dessus alors qu’elle dormait dans son lit, avant de se battre avec le compagnon de la mère. Laissant ce dernier inconscient derrière lui, le tueur est reparti avant de revenir quelques minutes plus tôt à la demande de Qaw’mane Wilson qui voulait s’assurer «que la pétasse est morte», rapporte le «Chicago Sun Times».
« Tout ce qu’il voulait, elle lui donnait »

Qaw’mane Wilson a ensuite récupéré l’argent de sa mère et de l’assurance sur son compte en banque. Les mois suivants, il a utilisé les 90 000 dollars pour lancer sa carrière et customiser la Mustang que sa mère lui avait offerte dans le passé. A son fils unique, cette femme qui possédait un commerce fructueux, offrait tout ce qu’il désirait. «Tout ce qu’il voulait, elle lui donnait. Une voiture. Un boulot. On peut dire que c’était un enfant gâté. Elle lui a donné une vie et ce fut son choix à lui de lui retirer la sienne», a déclaré le juge vendredi.

Sur une vidéo réalisée après la mort de sa mère, Qaw’mane Wilson se
filme en train de distribuer des centaines de dollars à une foule se
disant fan de sa musique. Les images ont été diffusées lors de son
procès. «Je veux juste dire que personne n’aimait ma mère plus que moi.
Elle était tout ce que j’avais. C’est tout», a assuré l’accusé avant
l’énoncé du verdict.

Parismatch.com

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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