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Fathou veut imposer son ami au ministère des affaires étrangères

Le fils du chef de l’État El-Fathou Azali Assoumani veut imposer son ami au ministère des affaires étrangères. Inconnu par le public comorien, Anfif est un avocat spécialiste des affaires de football. Il est le grand frère de l’assistant de la communication de Beit-Salam. Afif Mshangama n’a jamais travaillé dans sur le domaine de la diplomatie mais pour le fils d’Azali Assoumani, leur amitié suffit comme compétence pour remplacer Amine Soefo au ministère des affaires étrangères.

Pour rappel, depuis la démission de l’ancien ministre des affaires étrangères comoriennes Amine Soefou, Azali peine à trouver son remplaçant. Ce poste reste vacant.

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En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

1 commentaire sur Fathou veut imposer son ami au ministère des affaires étrangères

  1. Rien d’étonnant de la part de ce régime népotique et clientéliste. C’est sa marque de fabrique de gérer le pays en famille et avec les amis de la famille.

    Dans le même registre, on assiste à Tunis aux assaults de l’enfant d’un autre cacique du régime pour être nommé Consul. Cette jeune personne qui a été imposée comme secrétaire au consulat veut maintenant être Consul à la place du consul.

    Tout irait bien si il avait quelques compétences et expériences diplomatiques. Si elle avait une expérience professionnel probant. Si elle avait des références d’étude supérieures. Si elle avait apporté une contribution extraordinaire au plan d’émergence 3030 ou à l’image du pays qui justifierais que la nation reconnaissant lui gratifie d’un poste de Consul Général pour lui remercier des services rendues à la nation. Or rien de tout cela n’est avérér. Sinon qu’on nous apporte la preuve contraire!

    Ses supporteurs Étudiants et stagiaire disent qu’elle assiste les comoriens dans leur problème avec l’administration tunisienne. Quoi de plus normal pour un agent consulaire. C’est toute de même sa mission et c’est le moins qu’on attend des employés d’un consulat. Ceux qui étaient là avant faisait ce même travail mais ne revendiquait pas le siège de Consul pour autant. Ceux qui viendront après feront certainement le même travail. Ceux qui ne font ce minimum doivent être virés.

    Ses supporteurs disent aussi qu’elle assistent aux événements organisées par l’association des étudiants et stagiaires alors que le Consul lui-même ne vient pas. Juste rappeler que ça ne fait pas parti de la mission du Consulat. Le Consul et ses agents n’ont pas pour mission de se mêler des affaire des associations. Si quelqu’un participe à un événement organisé par l’association des étudiants et stagiaire comoriens c’est strictement titre personnel et privé et non au nom de l’Etat Comorien qui l’emploie. Faisons donc bien la par des chose.

    Faut il rappeler que la mission du Consul et des agents sous son autorité est de défendre les intérêts des Comores, de veiller au respect des conventions signés entre les Comores et la Tunisie, de veiller à la sécurité des nationaux Comoriens établi en Tunisie dans la limite des moyens que l’Etat comorien a octroyé au consulat en personnel compétant et en moyens de matériel. Ces moyens n’existent pas.

    Accomplir la mission de Consul ou d’ambassadeur exige donc des qualités qui ne sont pas à la porter de tous. C’est pour ça que dans les pays qui fonctionne bien et normalement, les Consuls sont choisis parmi les diplomates de haut rang qui ont fait leur preuves. Ces mêmes diplomates ont fait des études supérieurs, maîtrisent plusieurs langues étrangères. Ils ont passé un ou des concours pour intégré le corps diplomatique. Ils ont servi la haute administration pendant plusieurs années à des postes de responsabilité avant de mériter le poste de Consul ou ambassadeur. Il est vraie que dans certains pays comme la France, il est courant que des non diplomates soient nommés Consul ou ambassadeur. Mais dans ce cas, le Président de la République propose le nom d’une grande figure du monde littéraire, des arts, de la science, ou de l’économie qui véhicule l’image de grandeur, de raffinement et d’attractivité de la France.

    Si tous les critères de compétence ou au moins quelques uns étaient respectées chez nos prétendants et prétendus diplomates, chez les directeurs dans les administrations et sociétés publique comoriens, et encore plus chez nos ministres, les Comores serait déjà depuis longtem émergents. On sait donc pourquoi on cherche toujours cette voie de l’émergence depuis 1976 et pourquoi en 2030 on sera toujours en train de la chercher.

    Que Dieu est pitié de notre pays et que nous soyons représentés à l’extérieur par des consuls et ambassadeurs à la crédibilité et à la competance irréprochable. Des diplomates soucieu de la bonne image et des intérêts des Comores et qui ne se manipulent pas les associations des étudiants

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