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Disparition de Karobwé : la ville de Dembeni lance un avertissement au gouvernement

Les notables et toute la ville de Dembeni ne se laisseront pas faire. Ils ne laisseront pas leur fils se faire tuer par les forces de l’ordre. Ils avertissent :

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

2 commentaires sur Disparition de Karobwé : la ville de Dembeni lance un avertissement au gouvernement

  1. Une réaction on ne peut plus digne pour une ville et des citoyens d’une dignité indiscutable. Seul bémol, NKAROBWE est un fils des Comores et il revient à chacun d’entre nous de revendiquer le respect aux droits de notre frère enlevé et séquestré par FAKRI MRENDANAYI. Lorsque Sambi fut enlevé et séquestré, on attendait Mutsamudu se lever pour la défense de l’ancien RAIS. Quand Salami ait subi les faits les plus arbitraires et injustes, l’attente était sur les anjouanais pour le respect de ses droits. Pendant que MOHAMED Moina fut cueilli comme un fruit pendant la rupture du jeun, on revêt de voir tout Mbeni revendiquer les droits de leur fils. Quand MAMADOU est séquestré chez lui, tout le pays attendait MBENI et Iconi se levaient comme un seul homme pour dire non aux injustices dont est victime Mamadou. Lorsque IKILILOU est condamné à rester à Moheli, le reste du pays attendait voir ce qu’allaient faire les Djoiesiens. Pendant que AGOI fut enlevé, torturé et séquestré tous les comoriens attendaient voir ce que serait la réaction des Ntsoudjiniens et Mohorois. Lorsque BAPALE fut assassiné dans les conditions les plus NAZISTES, on voulait que ça soit seule Anjouan qui verse ses larmes. Lorsque BOBOCHA est enlevé, torturé et séquestré, on disait que ce n’était notre affaire. Lorsque MABEDJA ait répondu à l’appel du régime pour exercer le droit à manifester, la majorité silencieuse ait observé un caractère moutonnier devant les complots et arrestations contre ELLE. Aujourd’hui, un fils Comorien, comme les précédents, est, à son tour, victime d’une injustice du régime. Comme BOBOCHA personne ne peut dire que NKAROBWE est mort ou vivant. Et on voit seul les habitants de la cité natale de la victime se lever pour revendiquer le droit à la vie pour ce fils Comorien. Si l’on continue à considérer le voisin du village d’à côté comme un étranger au destin qui nous indiffère, si l’on continue à demeurer insensible aux injustices infligés à nos voisins, si l’on continue à ne plus voir ou entendre les appels au secours de nos frères et soeurs victimes des injustices les plus arbitraires, nous finiront tous, chacun son tour, par être des victimes isolées souffrant dans le silence pour disparaitre dans l’indifférence totale. Ce qui ne serait ni humain ni religieux. Lorsque des hommes et des femmes sont enlevés, torturés, humiliés séquestrés, lorsque des hommes et des femmes font l’objet d’assassinats ciblés, lorsque des femmes et des hommes sont enlevés et condamnés sans jugements équitables pour avoir voulu dire ce dont ils souffrent, lorsque des enfants sont violés et ou assassinés sans que le droit ne soit dit, on ne peut s’étonner que NKAROBWE fasse l’objet de ce crapule et honteux enlèvement. L’indifférence manifestée aux souffrances de celles et ceux qui seraient issus des villages voisins se manifeste de la même façon dans les villes et villages sous prétexte que l’on ne soit pas du même quartier ou de la même famille. En réalité nous vivons un monde très individualiste qui finira par tout emporter. A moins que l’on se ressaisisse vite et bien J’espère , juste, que les détenus pour délits d’opinion soient vivants et en bonne santé pour un jour retrouver la liberté.

    ALORS LEVONS NOUS TOUS POUR DIRE NON A CETTE VIE BARBARE, ANIMALE ET SATANIQUE DONT L’AUTEUR EST AZALI ET LES ACTEURS KIKI, FAKRI MRENDANAYI et la clic CRCiste. Quelqu’un disait: Si vous tuez un homme c comme si vous tuez toute l’humanité. Ensemble disons qu’un Comorien victime d’injustice, de crime ou d’assassinat c’est comme si c la nation comorienne qui en est la victime. Soyons tous débout pour le DROIT A LA VIE DU CITOYEN(NE) COMORIEN(NE) Y COMPRIS NOS BOUREAUX.

  2. Une réaction on ne peut plus digne pour une ville et des citoyens d’une dignité indiscutable. Seul bémol, NKAROBWE est un fils des Comores et il revient à chacun d’entre nous de revendiquer le respect aux droits de notre frère enlevé et séquestré par FAKRI MRENDANAYI. Lorsque Sambi fut enlevé et séquestré, on attendait Mutsamudu se lever pour la défense de l’ancien RAIS. Quand Salami ait subi les faits arbitraires, l’attente était sur les anjouanais pour le respect de ses droits. Pendant que MOHAMED Moina fut cueilli comme un fruit, on revêt de voir tout Mbeni revendiquer les droits de leur fils. Quand MAMADOU est séquestré chez lui, tout le pays attendait MBENI et Iconi se levaient comme un seul homme pour dire non aux injustices dont est victime Mamadou. Lorsque IKILILOU est condamné à rester à Moheli, le reste du pays attendait voir ce qu’allaient faire les Djoiesiens. Pendant que AGOI fut enlevé, torturé et séquestré tous les comoriens attendaient voir ce que serait la réaction des Ntsoudjiniens et Mohorois. Lorsque BAPALE fut assassiné dans les conditions les plus NAZISTES, on voulait que ça soit seule Anjouan qui verse ses larmes. Lorsque BOBOCHA est enlevé, torturé et séquestré, on disait que ce n’était notre affaire. Aujourd’hui, un fils Comorien comme les précédents est victime d’une injustice du régime. Comme BOBOCHA personne ne peut dire que NKAROBWE est mort ou vivant. Et on voit seul les habitants de la cité natale de la victime se lever pour revendiquer le droit à la vie pour ce fils Comorien. Si l’on continue à considérer le voisin du village d’à côté comme un étranger au destin qui nous indiffère, si l’on continue à demeurer insensible aux injustices infligés à nos voisins, si l’on continue à ne plus voir voir ou entendre les appels au secours de nos frères et soeurs victimes des injustices les plus arbitraires, nous finiront tous par être des victimes isolées souffrant dans le silence pour disparaitre dans l’indifférence totale. Ce qui ne serait ni humain ni religieux. Lorsque des hommes et des femmes sont enlevés, torturés, humiliés séquestrés sans preuves indiscutables, lorsque des hommes et des femmes font l’objet d’assassinats ciblés, lorsque des femmes et des hommes sont enlevés et condamnés sans jugements équitables pour avoir voulu dire ce dont ils souffrent, lorsque des enfants sont violés et assassinés sans que le droit ne soit dit, on ne peut s’étonner que NKAROBWE fasse l’objet de ce crapule et honteux enlèvement. J’espère qu’il est, juste, vivant pour un jour retrouver la la liberté.

    ALORS LEVONS NOUS TOUS POUR DIRE NON A CETTE VIE BARBARE, ANIMALE ET SATANIQUE DONT L’AUTEUR EST AZALI ET LES ACTEURS KIKI, FAKRI MRENDANAYI et la clic CRCiste. Quelqu’un disait: Si vous tuez un homme c comme si vous tuez toute l’humanité. Ensemble disons qu’un Comorien victime d’injustice, de crime ou d’assassinat c’est comme si c la nation comorienne qui en est la victime. Soyons tous débout pour le DROIT A LA VIE DU CITOYEN(NE) COMORIEN(NE).

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