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Boléro est soupçonné de tentative de coup d’état ? perquisition dans son hôtel

L’ancien secrétaire général de la commission de l’océan indien a subi une perquisition dans un lieu où il a séjourné à Moheli. Voici le témoignage :  » Le jeudi 29 octobre Bolero est arrivé à Moheli accompagné de son épouse pour rendre visite à sa mère et sa famille comme le font souvent nos compatriotes des autres îles résidant à Ngazidja.
Le lendemain, après le salat de vendredi, le couple s’est rendu à Nioumachoi la ville natale du Ministre 1er Bianeifi Tarmidhi.
Ici le couple Bolero a pris une chambre chez son ami Said Mohamed Ali Said ancien SGG du régime IKILILOU.

Le lendemain matin le couple Bolero est reparti à Fomboni.
Deja le soir du vendredi, à l’hôtel ou résidait le couple Bolero, le propriétaire a constaté des va et vient anormaux des personnes qui semblaient surveiller ce qui se passait autour mais il n’a rien dit.
Sauf que le lendemain et les 2 jours qui ont suivi, des gendarmes se sont pointés chez le gérant de l’hôtel pour demander avec qui Bolero était à l’hôtel (comme si maintenant aux Comores certaines personnes n’ont pas droit à une vie privée familiale). Combien de réunions aurait il organisé et avec quelles personnes?
Said Mohamed Ali Said a juste expliqué aux intéressés qu’il est ami du couple et que Bolero est comme un frere pour lui et qu’à chaque fois qu’il se trouvera chez lui à Moheli et à Nioumachoi il sera le bienvenu chez lui. Et que si les autorités ne veulent pas qu’il vienne à Moheli et à Nioumachoi, elles n’ont qu’à l’interpeller sinon Bolero était avec son épouse et qu’aucune réunion n’a été organisée par ce dernier dans son hôtel. Il a rajouté que certes il a fait la priere à la mosquee principale de Nioumachoi mais pour ça il faudra demander aux autres fidèles présents.
Quelle mouche pique certaines autorités ces derniers temps?  » Iconi Idtv.

À voir aussi :

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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