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Blue Sky change de peau et revient avec les mêmes risques de sécurité

Après les multiples péripéties que connaissent les compagnies aériennes comoriennes du fait de Jean Marc Heintz, ce dernier avait dégoté Blue Sky pour qu’il vienne officier dans le transport inter îles. Sauf que lors de son premier décollage, l’appareil a dû se reposer en catastrophe à Hahaya parce que les trains d’atterrissage restaient bloqués même en vol. L’appareil est reparti en Tanzanie pour des contrôles et le gouvernement Comorien avait juré qu’il ne reviendrait pas. C’était sans compter la volonté du secrétaire général du ministère des transports, Said Salim Dahalane et le directeur général de l’Anacm. Selon Mahamoudou Mohamed Ali patron de l’opaco, Heintz et Dahalane ont trouvé une combine en changeant le nom de la compagnie mais en utilisant le même avion mis en cause. Désormais, au lieu de Blue Sky, appelez-le Coastal Airline et préparez-vous à le voir débarquer de nouveau dans le ciel comorien. En effet, l’Anacm vient de donner l’autorisation à ce tombeau volant pour qu’il exploite l’espace aérien des Comores. En un tour de magie, Heintz a contourné la volonté du gouvernement tout en sachant que la sécurité des personnes est loin d’être garantie. En dehors du nom, Coastal Airline a les mêmes caractéristiques que le défunt Blue Sky.

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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