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Une nouvelle centrale solaire installée à Chomoni : un pas vers l’autonomie énergétique des régions de Washili, Dimani et Hamahamet.

 

La ville de Chomoni, située dans la région de Washili sur l’île de la Grande Comore, accueille une nouvelle centrale solaire collective, renforçant l’accès à une énergie durable et propre pour la population. Cette installation marque la deuxième centrale solaire de ce type sur l’île, après celle de Foumbouni, et constitue une avancée majeure pour le pays.

Avec une capacité de production de 6,3 mégawatts, la centrale solaire de Chomoni est deux fois plus puissante que celle de Foumbouni, qui produit 3 mégawatts. Dès son entrée en service, prévue pour janvier prochain, cette centrale alimentera en électricité les régions de Washili, Dimani et Hamahamet. Elle répondra ainsi aux besoins croissants des populations locales tout en réduisant la dépendance énergétique de l’île.

Le développement de ces infrastructures bénéficie du soutien de financements internationaux. La Banque mondiale a investi 40 millions de dollars dans le cadre du Projet d’Accès à l’Énergie Solaire aux Comores (PAESC). Ce programme ambitieux vise à augmenter la capacité en énergie solaire du pays à 47 mégawatts d’ici 2027, marquant un tournant vers une autonomie énergétique durable.

La mise en service de la centrale de Chomoni contribuera également à réduire les coûts liés à l’importation de combustibles fossiles, tout en promouvant une énergie propre et respectueuse de l’environnement. Elle représente une étape clé dans le développement des infrastructures énergétiques des Comores et un exemple de l’impact des partenariats internationaux dans la transition énergétique.

Avec cette initiative, les Comores progressent vers un futur énergétique plus résilient et durable, où l’accès à l’électricité devient une réalité pour un plus grand nombre de citoyens. Cette centrale pourrait également servir de modèle pour d’autres régions de l’archipel souhaitant adopter des solutions énergétiques similaires.

ANTUF Chaharane 

 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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