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Razida dénonce et appelle à la solidarité : Neuf jours sans nourriture pour les prisonniers de Moroni

 

Récemment libéré de prison après avoir purgé une peine pour son engagement politique, Monsieur Razida, membre éminent de l’opposition et soutien de la candidature de Juwa aux dernières élections, a immédiatement pris la parole pour défendre les droits des prisonniers comoriens. Dans ses premières déclarations publiques, il a dénoncé les conditions inhumaines auxquelles ces derniers sont confrontés.

Lors de diverses émissions, Monsieur Razida a décrit les situations difficiles que vivent les détenus, notamment la surpopulation carcérale, où le nombre de prisonniers dépasse largement la capacité d’accueil des établissements pénitentiaires comoriens. Face à cette urgence humanitaire, il a tenu une conférence de presse dans les locaux du média Ayba FM pour sensibiliser la population et appeler à une action collective.

Monsieur Razida a souligné une crise alimentaire grave, révélant que les prisonniers de Moroni n’ont rien à manger depuis neuf jours, l’État ne leur ayant fourni aucune nourriture. Il a qualifié cette situation de torture sans précédent dans l’histoire de la prison de Moroni.

Son appel est double : il exhorte les Comoriens à réagir non seulement en tant qu’humains, mais aussi en tant que musulmans, pour aider leurs compatriotes emprisonnés. Il a imploré la population de contribuer à cette cause urgente pour fournir de la nourriture aux détenus de Moroni.

Par cet engagement, Monsieur Razida cherche à mobiliser la solidarité nationale et à rappeler aux autorités leur responsabilité envers les prisonniers, soulignant que des conditions de détention dignes sont un droit fondamental.

ANTUF Chaharane 

 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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