
Après plusieurs discours sans actes, les soutiens du régime en place commence à ses désespérer du manque des actions concrètes de la part du gouvernement comorien. Pour cette supportrice du chef de l’État, le bilan d’Azali Assoumani devient de plus en plus indéfendable.
« Nous qui les défendons, on a commencé à baisser les armes. On vit mal. On en a marre des discours, on veut l’électricité pour charger les téléphones et allumer nos ventilateurs, on veut l’eau pour se laver matin et soir le minimum. Est-ce trop demander dans un pays. On vit mal au pays mon cher ami », Fatoumia Moilim.
Un autre soutien soutien lui répond « voilà pourquoi jai dit comment l’État va défendre son bilan en 2024 s’il n’arrive pas à fournir l’électricité au peuple », Youlham.
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