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Les voitures à vitres teintées aux Comores : pourquoi circulent-elles encore malgré l’Interdiction?

 

Aux Comores, un sujet brûlant fait débat : les voitures à vitres teintées. Bien que formellement interdites, ces voitures sillonnent toujours les rues de l’archipel. Mais pourquoi cette persistance malgré la clarté de la loi ? La réponse est complexe et met en lumière des défis communicationnels entre les autorités et les citoyens.

L’interdiction est clairement stipulée, avec une sanction financière dissuasive fixée à 50 000 francs pour tout contrevenant. Cependant, de nombreux chauffeurs, pris en défaut, ont exprimé leur surprise, clamant leur ignorance de cette réglementation. Ces affirmations soulèvent des questions sur l’efficacité des campagnes de sensibilisation menées par les autorités.

Au cœur de ce problème se trouve un enjeu de sécurité routière. Les vitres teintées peuvent réduire la visibilité du conducteur, surtout la nuit, augmentant ainsi les risques d’accidents. D’autre part, elles peuvent faciliter des actes répréhensibles en offrant une certaine « anonymité » aux occupants du véhicule.

Cet enjeu, au-delà de la simple question des vitres teintées, met en exergue l’importance d’une communication efficace entre le gouvernement et les citoyens. Pour que les lois soient respectées, elles doivent être clairement communiquées, comprises et acceptées par la population.

ANTUF Chaharane 

 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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