
À quelques heures du scrutin, Mouigni Baraka exprime l’idée d’un consensus quant aux parrainages pour l’élection présidentielle aux Comores. Cependant, cette proposition a été rejetée par la Cour suprême en raison de contraintes temporelles. Un point qui soulève des interrogations sur la gestion du temps et de la planification dans cette phase cruciale du processus électoral.
L’épineuse question des procurations suscite également des débats animés. Les autres candidats demandent leur annulation, se basant sur une disposition constitutionnelle. En réaction, la Ceni rejette l’idée d’un consensus, arguant que cette démarche contrevient aux principes constitutionnels en vigueur. Un refus qui souligne la fermeté de la Ceni quant au respect des règles établies.
Par ailleurs, le camp Azali prend une position quelque peu inhabituelle en laissant aux autres candidats le choix de saisir la Cour suprême. Cette démarche peut être interprétée comme une invitation à résoudre les différends de manière légale, tout en mettant en avant l’indépendance de la Cour suprême dans le processus électoral.
IBM
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