
L’application de la peine de mort aux Comores continue de diviser l’opinion et l’opinion publique. Bienque certains appellent à son abolition, le gouvernement ne compte pas céder même s’elle s’oppose aux conventions internationales signées par l’État comorien : » ce n’est pas parcequ’une personne a requis la peine capitale qu’elle doit être tuée le deuxième jour ou la même année. Elle peut rester en prison pendant des longues années avant son exécution. Aucun article n’a mentionné une date d’exécution. En tout cas, il n’est pas question de l’abolir » Mohamed Ousseine.
Pour rappel, plusieurs personnes ont pris la peine de mort lors des dernières auditions organisées par la cour d’assise de Moroni.
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