
En réponse à l’appel fait par le front commun qui résiste et qui lutte pour la tournante d’Anjouan en 2021, le principal parti du régime a tenu une conférence ce matin pour menacer encore une fois l’opposition : « les élections présidentielles auront lieu en 2024. L’opposition menace de faire partir le chef de l’État en 2021. Ils oublient que c’est nous qui avons le pouvoir et toutes les forces » a expliqué le secrétaire général adjoint du ministère des affaires étrangères Maoulana, l’homme qui a détourné l’argent des étudiants qui voulaient se rendre au Maroc dans les universités privées en 2018.
Une manière d’expliquer aux opposants d’Azali Assoumani que le CRC a le pouvoir des armées dans leurs poches et que personne ne pourra leur faire peur.
Réagissez à cet article