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La société civile comorienne encore sur le pied de guerre pour aider Mayotte. 

 

Une réunion cruciale s’est tenue ce matin au Secrétariat Général du Gouvernement, rassemblant des représentants de la société civile comorienne, menés par Madame Sitti Djaouharia Chihabiddine, et le Comité National de gestion de l’après-crise post-Chido. Cette rencontre a permis de faire le point sur les actions menées conjointement par l’État et la société civile, tout en soulignant les défis logistiques persistants dans l’acheminement de l’aide humanitaire vers Mayotte.  

Les associations de la société civile comorienne ont déjà mobilisé 14 conteneurs de 20 pieds, prêts à être envoyés à Mayotte pour venir en aide aux sinistrés. Cependant, le collectif a exprimé le besoin d’un soutien accru de la part du gouvernement pour faciliter le transport de ces conteneurs. Face à ces obstacles logistiques, la société civile reste plus que jamais déterminée à poursuivre ses efforts.  

Raoul Yvon Delapeyre, Président du comité, a profité de cette occasion pour saluer l’implication remarquable de la société civile dans la gestion de cette crise. Il s’est engagé à se porter garant de leurs préoccupations auprès des autorités, afin de lever les barrières logistiques et d’assurer une assistance efficace aux populations touchées. « Ensemble, nous œuvrons pour un avenir meilleur pour nos concitoyens des quatre îles », a-t-il déclaré, soulignant l’importance de la solidarité nationale.  

Malgré les difficultés, la société civile comorienne continue de démontrer son engagement indéfectible envers les habitants de Mayotte. Cet élan de solidarité témoigne de la volonté commune de reconstruire et de soutenir les communautés affectées, tout en renforçant les liens entre les îles de l’archipel.  

Alors que les défis persistent, la société civile comorienne reste un pilier essentiel dans la gestion de cette crise, prouvant une fois de plus que l’union et la détermination sont les clés pour bâtir un avenir meilleur.

SAID Hassan Oumouri 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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