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La Fondation Mohamed VI pour les Ulémas Africains lance un concours de mémorisation des récits Prophétiques aux Comores

La Fondation Mohamed VI pour les Ulémas Africains a lancé, samedi dernier, la première édition d’un concours de mémorisation des récits prophétiques, prévue pour le 23 juillet prochain. Cet événement, organisé par la section comorienne de la Fondation, a pour objectif de promouvoir l’étude des deux socles de l’islam : le Coran et la Sunna du Prophète (MSW), parmi les jeunes Africains.

La compétition réunira des jeunes provenant des 48 pays africains membres de la Fondation. Lors de l’annonce officielle, Dr Nourdine Bacha, secrétaire général de la section comorienne, a souligné l’importance de cette initiative : « Cette première édition du concours de mémorisation des récits prophétiques incarne la vision du roi du Maroc, Mohamed VI, visant à encourager la jeunesse africaine à s’investir dans la mémorisation et l’étude des récits prophétiques. »

Dr Bacha a expliqué que le concours comportera trois volets distincts : la mémorisation, la récitation selon les règles de prononciation, et l’interprétation des sens des textes. « La première catégorie évalue la mémorisation de 40 récits prophétiques avec une prononciation correcte. La seconde épreuve juge la narration des textes, incluant la citation des compagnons du Prophète. Enfin, la troisième catégorie évalue l’interprétation des récits, permettant à chacun de saisir pleinement leur signification », a-t-il précisé.

Aux Comores, 50 candidats ont été inscrits pour participer à cette compétition. Ils seront évalués par des jurys nationaux composés d’experts en jurisprudence des récits prophétiques. Ces jurys sélectionneront les meilleurs candidats dans chaque catégorie, qui participeront ensuite à la finale au Maroc.

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En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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