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La distanciation n’est qu’une utopie dans la capitale des Comores

Les mesures barrières contre le COVID-19 tombent à l’eau. Les prières collectives continuent d’être organisées dans les régions et villages lointains où les forces de l’ordre ne sont pas présentes. A Moroni capitale des Comores, la distanciation sociale n’est qu’un rêve. Les gens se serrent comme des sardines.

À 4 jours de la célébration de l’Aïd El-fitr, les habitants des autres localités s’y rendent pour s’acheter tout ce qui est nécessaire pour cette fête musulmane. Les marchés, les rues,… sont tous pris d’assaut par les gens qui à tout prix veulent s’acheter des habits, des chaussures, des chaussures, de l’alimentation, etc. L’on se demande où sont passées les forces. Comment elles peuvent laisser les gens se conduire à une telle manière qui est synonyme de la propagation du Coronavirus dans le pays ?

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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