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Environ 16 joueurs de l’équipe nationale boycottent l’entraînement.

 

 

Le 12 octobre 2023 est marqué d’un noir profond dans l’histoire du football aux Comores. L’harmonie au sein de l’équipe nationale semble être sérieusement mise à l’épreuve. Un nombre conséquent de joueurs n’a pas daigné faire acte de présence lors du rassemblement prévu ce jeudi.

Selon nos sources, les joueurs qui ont choisi de ne pas assister à la séance d’entraînement sont :
– **Gardiens** : Ben Salim Boina, Annick Pandor, Ali Ahmada, Adel Anzimati
– **Défenseurs** : Kassim M’dahoma, Karim Attoumani, Younn Zahari, Mohamed Yousouf, Hakim Abdallah, Said Bakari, Glenn Younousse, Aaron Nassur Kamardin
– **Milieux** : Youssouf M’changama, Yassine Bourhane, Kassim Hadji, Ameriuc Ahmed, Bendjaloud Youssouf
– **Attaquants** : Faiz Selemani, Ali M’madi, William Vouama, Ahmed Mogni, Adel Mahamoud, Rayoum Mbamba

Ces absences, à peine quelques jours avant un match crucial contre le Cap-Vert, ne sont pas anodines. Elles viennent renforcer les murmures concernant un conflit latent entre les joueurs et la fédération. Les raisons précises de cette tension ne sont pas encore clairement établies, mais elles suscitent déjà de nombreuses interrogations parmi les fans et les observateurs du football.

Stefano Cusin, le coach de l’équipe, se retrouve face à un défi colossal. Devra-t-il revoir sa stratégie à la dernière minute pour compenser ces absences de taille ?

Les jours à venir seront cruciaux pour l’avenir de l’équipe nationale. Il est impératif que la fédération et les joueurs trouvent un terrain d’entente pour assurer la sérénité du groupe et viser la victoire lors des prochains rendez-vous.

Espérons que ce différend sera rapidement résolu pour le bien du football comorien et de tous ses passionnés.

ANTUF Chaharane 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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