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Destitution du Président des Comores : La Cour Suprême défend maladroitement Azali Assoumani.

 

La Cour suprême des Comores a récemment rejeté une requête déposée par Ibrahim Abdourazak, qui accusait le Président de l’Union des Comores de haute trahison et demandait l’annulation d’un accord signé entre la France et les Comores en 2019. La Cour a jugé la requête irrecevable, arguant que seuls le Président de l’Union, le Président de l’Assemblée de l’Union et les Gouverneurs des Îles sont habilités à la saisir pour examiner les engagements internationaux conclus par l’Union des Comores.

Cependant, cette décision soulève des questions. D’une part, elle semble ignorer le fait que l’accord en question, qui prévoit des déplacements de populations et remet en cause l’intégrité territoriale des Comores, a été mis en œuvre sans avoir été ratifié ou approuvé conformément à la Constitution. D’autre part, elle semble passer sous silence l’accusation selon laquelle le Président de l’Union a retiré la question de la souveraineté des Comores sur Mayotte de l’ordre du jour de l’Assemblée générale des Nations Unies.

Ces incohérences soulignent la nécessité d’une plus grande transparence et d’un contrôle judiciaire plus rigoureux dans la gestion des affaires publiques aux Comores.

ANTUF Chaharane 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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