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Boissons « énergisantes » : deux décès suspects signalés

« Des investigations sont en cours » mais deux nouveaux cas de décès pouvant être mis en rapport avec la consommation de boissons « énergisantes » ont été signalés aux autorités sanitaires, rapporte l’AFP, qui précise qu’un autre décès avait déjà été signalé auparavant. De quoi alerter un peu plus l’agence de sécurité sanitaire pour l’alimentation (Anses) qui appelle les professionnels de santé à lui transmettre les cas potentiels d’effets indésirables liées à la consommation de ce type de boissons.

A ce sujet, l’agence rappelle que « récemment plusieurs cas ont ainsi été rapportés à l’Anses, notamment lors de consommation de ces boissons en association avec de l’alcool ».

Face à cette question de santé publique, un dispositif de surveillance a été mis en place par l’Institut de veille sanitaire (InVS) en 2008. « Vingt-quatre cas » d’effets indésirables ont été rapportés. « Pour treize d’entre eux, un lien de causalité possible ou probable a pu être établi. Les effets rapportés sont d’ordre cardiologique (tachycardie) et/ou neurologique (crises d’épilepsie, paresthésies, tremblements, vertiges) et/ou psychiatrique (angoisses, agitation, confusion) », précise l’Anses.

Une consommation en hausse 
Des travaux sont actuellement menés par l’agence de sécurité sanitaire sur la consommation des boissons « énergisantes », dont le terme n’est pas règlementé, mais qui regroupe des produits contenant des ingrédients supposés « stimulants » tels que taurine, caféine, guarana, ginseng, vitamines… Selon les premiers résultats de l’étude menée par l’Anses, « la consommation de ces produits en lien avec une activité sportive est en augmentation et que 27 % des consommateurs de moins de 35 ans associent, au moins de temps en temps, ces produits à de l’alcool. »

Source: metrofrance

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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