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Aux Comores : 3 mai, journée de la liberté de la presse

3 mai, journée de la liberté de la presse

Les journalistes comoriens ont défilé ce jeudi 3 main, pour célébrer à l’instar de leurs confrères dans le monde, la journée de la liberté de la presse. Partis de la place Kharthala, les journalistes, se sont dispersés sur la place de l’indépendance, après un meeting tenu devant l’esplanade du conseil de l’île de Ngazidja. A l’exception notoire, de Idriss Mohamed de Comores informatique et de Salim Souleyame, secrétaire national de la CTC, les personnalités de la société civile n’ont pas répondu à l’appel des journalistes.

Les journalistes ont exprimé, ‘’leur solidarité aux personnes sinistrées suite aux fortes pluies torrentielles et lancé à l’occasion un appel à la solidarité’’. Le thème de cette année, « zéro censure », a été retenu pour alerter l’opinion et les autorités sur ses méfaits sur l’image du pays, en termes de respect de libertés. L’appel a été lancé au Conseil national de la presse et de l’audiovisuel, pour qu’il mette rapidement en place ses structures internes, afin de se pencher sur les textes réglementaires qui compléteront le code de l’information, notamment sur le texte portant attribution de la carte de presse, la mise en place du fond d’appui media, mais également de programmer le plan de formation des journalistes.

Source: AAA

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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