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Soprano : un engagement philanthropique freiné par les taxes douanières aux Comores.

 

Soprano, de son vrai nom Said M’Roumbaba, est un rappeur français d’origine comorienne qui a su se faire un nom sur la scène internationale. Cependant, aux Comores, son pays d’origine, il est reconnu pour son engagement philanthropique à travers la Fondation Soprano. Cette fondation, créée en 2018, se consacre à l’amélioration des secteurs clés de l’éducation et de la santé aux Comores.

La Fondation Soprano a mené plusieurs actions notables, notamment le don d’équipements médicaux, la réhabilitation de centres de santé et d’écoles, ainsi que l’apport d’aide matérielle à diverses communautés. Récemment, la fondation a inauguré une école à Mwémbadjou et a fait don d’une ambulance et de matériel médical au centre de santé de Ntsaoueni. De plus, elle a offert des équipements d’une valeur de 160 000 euros aux personnes handicapées et aux orphelins à Moroni, la capitale des Comores.

Cependant, malgré ces actions louables, la Fondation Soprano se heurte à un obstacle majeur : les droits de douane imposés par les autorités comoriennes. En effet, chaque fois que la fondation envoie des dons aux Comores, elle doit payer des taxes douanières. Récemment, la fondation a dû débourser 15 000 euros de droits de douane pour dédouaner des dons, une somme considérable qui pourrait être utilisée pour financer d’autres projets philanthropiques.

Cela soulève une question importante : pourquoi les associations caritatives, comme la Fondation Soprano, sont-elles soumises aux mêmes taxes que les commerçants ou les particuliers ? Cette situation semble contradictoire avec l’objectif des droits de douane, qui est de réguler le commerce et non de freiner les actions caritatives.

En dépit de ces obstacles, Soprano reste déterminé à aider son pays d’origine. Son engagement envers les plus démunis est indéfectible, et il continuera à œuvrer pour l’amélioration de l’éducation et de la santé aux Comores. Cependant, il est clair que les taxes douanières imposées par les autorités comoriennes constituent un frein majeur à ses actions philanthropiques.

Said Hassan Oumouri 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

1 commentaire sur Soprano : un engagement philanthropique freiné par les taxes douanières aux Comores.

  1. Nous remercions ce star millionnaire comoriens de toutes ses actions mais certes la fondation soprano doit en effet être défendu par certains droits comme d’être rentable au lieu de la perte bien que la donation de la fondation parvient des importations qui entre dans le pays comorien et qui paye beaucoup des droits et taxes douaniers car cet entreprise doit en autre se méfier des infrastructures douaniers il est jour en effet que les stars comorienne rêve plus grand dont je les conseillé d’etre productive face à une économie évolutive qui permettra une style de vie au quotidienne.

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