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La Diva massacre la Marseillaise ce 14 juillet à Moroni

Après l’hymne national comorienne c’est autour de la Marseillaise d’être massacrée par la Diva.

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

3 commentaires sur La Diva massacre la Marseillaise ce 14 juillet à Moroni

  1. Après la fête de l’indépendance sous surveillance, voici celle de la recolonisation. Tout y était. Plus d’indigènes que de colons. Puis la supposée meilleur des indigènes, entonne la Marseillaise comme sous DEGAULE. Plus étonnant fut l’hymne comorienne pour parachever le projet. En suite, on est en droit de s’interroger sur la réalisation de ces deux hymnes pour la fête de la puissance coloniale et par une indigène sous une indépendance illusoire. Après avoir pointé présent dans la maison France, les nègres de maison ont pu regagner leur semblant de pays avec le plaisir de soumission à la françAfric. Après tout, nous sommes dans un pays où il n’est plus un souci d’apprendre à pêcher un poisson, à élever des animaux, à cultiver la terre pour une garantie alimentaire mais à importer tout ce dont le peuple a besoin pour survivre. Une dépendance alimentaire ajoutée à celle monétaire qui justifient l’expression populaire comorienne sur le 14 juillet dans la résidence de l’ambassade de France à Moroni devenue une province de Paris depuis cette fête. Vive le F. L. C

  2. Après la fête de l’indépendance sous surveillance, voici celle de la recolonisation. Tout y était. Plus d’indigènes que de colons. Puis la supposée meilleur des indigènes, entonne la Marseillaise comme sous DEGAULE. Plus étonnant fut l’hymne comorienne pour parachever le projet. En suite, on est en droit de s’interroger sur la réalisation de ces deux hymnes pour la fête de la puissance coloniale et par une indigène sous une indépendance illusoire. Après avoir pointé présent dans la maison France, les nègres de maison ont pu regagner leur semblant de pays avec le plaisir de soumission à la françAfric. Après tout, nous sommes dans un pays où il n’est plus un souci d’apprendre à pêcher un poisson, à élever des animaux, à cultiver la terre pour une garantie alimentaire mais à importer tout ce dont le peuple a besoin pour survivre. Une dépendance alimentaire ajoutée à celle monétaire qui justifie l’expression populaire comorienne sur le 14 juillet dans la résidence de l’ambassade de France à Moroni devenu une province de Paris depuis cette fête. Vive le F. L. C

  3. ce qui se fille de pite qui nous font honte les hymnes nationale de la repulbique de deux pays la france et les comores appartiennent aux anciens combattante et les resistances republicaines donc arret de fait l immbecille les generaux et les hautes officiers de forces armeés et de defences avec leurs saluts ne peux plus prendre en otage avec des fou

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