
« Toufé a laissé entendre qu’il a été torturé. Il ne porte aucune blessure et ne s’est pas rendu dans un hôpital. Une vidéo sur les réseaux sociaux affirme que ses accusations sont mensongères. N’y a-t-il pas une action à mener puisqu’il a diffamé une institution nationale, la gendarmerie? » Msa Ali Djamal, journaliste à l’hebdo lors d’une conférence au mirex.
En clair, Djamal Ali Msa voulait parler d’une procédure d’extradition contre Toufé. Irrécupérable.
« Si cette torture est avérée, que ce soit sur lui ou sur un autre, je regrette. Ce n’est pas un droit. Les journalistes font un travail difficile, parfois ils ne dorment pas pour nous informer. Ils doivent faire librement leur travail et être respectés. Toutefois, ils doivent faire la différence entre un journaliste professionnel et un animateur de twarab en suivant la déontologie de leur métier » Souef El-Amine.
Med Youssouf
Monsieur DjamilA a perdu la tête!
D’abord il n’y a pas d’accord d’extradition entre les Comores et la France, on l’a appris lors de l’affaire Mohamed Bacar.
Quant aux tortures de Toufé par la gendarmerie, cela n’est pas un secret pour personne que la gendarmerie est une maison de torture et cela ne date pas d’aujourd’hui.
Pour DjamilA, si on a pas une patte cassé on est pas torturé.
Quelle ignominie!
Ce DjamilA est le Goebbels de la secte Azali.
Espérons qu’il finira dans le même bunker qu’Azali.
Un journaliste n’est ni un griot ni un juge. Pour extrader, il faut qu il y ait des accords entre les deux pays. Puis la France un grand pays ne pourrait jamais rentrer à des agissements enfantins. Tout le monde sait que la dictature torture, tué, emprisonne.
Yelinou ngalambawo lessera mbé la safarini? Yepvanou mhimou wahagnou mtriyé wandrou mapvasheni mdo wa torturé?
Hatrawa mtdidjo mfagna dja Faiçal nowasaya bo mnayibaba.