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Les journalistes Comoriens ont peur de parler de l’affaire Khashoggi

Depuis le meurtre prémédité du journaliste Jamal Khashoggi au consulat saoudien d’Istanbul, l’Arabie Saoudite est sous le feu des critiques partout dans le monde. Mais aux Comores, les journalistes ont peur d’informer la population de cette affaire.

Pourquoi les journalistes d’Alwatwan, La Gazette des Comores, Masiwa Komor et Al fadjri ont ils peur de parler de l’affaire Jamal Khashoggi?

Selon le journal le monde, le retentissement qu’a eu la disparition de Jamal Khashoggi, tué dans le consulat saoudien d’Istanbul, tient en partie, aussi, à son symbolisme. La mort de cette figure de la presse saoudienne, qui refusait l’étiquette de dissident, mais bousculait, depuis son exil américain, la figure toute-puissante du prince héritier, Mohammed Ben Salman, peut être vue comme une nouvelle offensive de la contre-révolution arabe. La marque du sentiment d’impunité absolu qui habite aujourd’hui les despotes du Proche-Orient.

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

1 commentaire sur Les journalistes Comoriens ont peur de parler de l’affaire Khashoggi

  1. les comoriens s’en fichent des problemes de saoudiens. ce qui les interessent c’est de pouvoir manger à leur fin car chaque jour ils se battent pour survivre et mourir dans le bras de mer entre Mayotte et Anjouans pour échapper à la misère. En plus étant donné que 99% d’eux sont illétrés en quoi ce site peuvent les informer.

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