
Les humbles vendeurs de fripes reprennent leur boulot après le sinistre de ce samedi où ils ont tout perdu leurs stocks de fripes à cause d’une incendie dans la nuit du vendredi au samedi. Ils disent qu’ils n’ont pas le choix car ils ont des familles à nourrir, des crédits à rembourser. Selon eux, la réponse de la mairie quand à la sécurité de ces lieux leur a laissé perplexes. La mairie leurs dédaigne et leurs a dit qu’elle n’est plus responsable de cet incident.
Les autres femmes vendeurs voudraient qu’ils ( vendeurs de fripes ) se remettent pas à travailler avant qu’un compromis soit trouvé entre eux et la mairie. Mais les hommes disent que connaissant les Comores, vouloir être dédommager par la mairie serait comme vouloir monter sur la lune pour un comorien ( Chose impossible).
Hassane Nourdine
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