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La République de Turquie soutiendra le secteur de la Santé

Le nouvel Ambassadeur Turc aux Comores avec résidence à Antananarivo vient de présenter ses lettres de créances au Président de la République la semaine dernière. Lundi, l’Ambassadeur Metin Hüsrev Ünler a rencontré la Ministre de la Santé, de la Solidarité, de la Protection Sociale et de la Promotion du Genre, Dr. RASHID MOHAMED MBARAK Fatma. L’occasion pour le Représentant de la Turquie d’exposer l’initiative de son pays qui est « de tendre encore une fois la main de coopération au pays frère de l’Union des Comores ».

La République de Turquie se montre prêt à accompagner les projets de santé de notre pays notamment dans la formation et le renforcement des capacités du corps de santé ainsi qu’à l’équipement des services de santé. « Le Ministère pourra à tout moment formuler tout projet sanitaire et je serai l’intermédiaire auprès de mon pays pour appuyer la concrétisation », a souligné l’Ambassadeur avant de préciser que son pays compte renforcer ses relations avec les Comores.

Metin Hüsrev Ünler était accompagné de Mourad Bazi, Consul honoraire de Turquie à Moroni, et du Coordinateur du groupe TIKA, M. Bora AVCI, une agence qui intervient dans l’humanitaire, épaulant surtout les secteurs de la Santé, l’économie, l’agriculture et l’éducation au niveau mondial.

Dr. RASHID M. MBARAK Fatma a rappelé à son homologue Turc combien les chantiers de la Santé tiennent à cœur le Président Azali Assoumani. « La Santé est une priorité du Chef de l’Etat et du Gouvernement Comorien, alors le soutien d’un pays frère comme la Turquie ne peut être que souhaitable », a mentionné la Ministre. D’après elle, le renforcement des capacités des ressources humaines est une nécessité. « Mon Ministère saura préserver une relation dynamique et engagée avec l’Ambassade de la République de Turquie pour la Santé des Comoriens », a conclu Madame la Ministre de la Santé.

Le Ministère de la santé

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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