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Azali a t-il peur de Mchangama, d’Agwa ou est ce qu’il y a une persécution contre Anjouan ?

Opinion libre: Après analyse et sans aucun penchant séparatiste (étant moi même le plus anti séparatiste), je perçois que la dictature d’AZALI vise un cible de choix: les Anjouanais proches et partisans de SAMBI.
Au péril de la nation, AZALI se lâche tête baissée contre la popularité de SAMBI. Au passage, sa violence atteint tous ceux qui s’y opposent, mais seulement d’origine JUWA ou Anjouanais.
Si BARWANE, SIDI sont persécutés, c’est leur appartenance à la machine JUWA.

Les réquisitoires de SAID ABDALLAH MCHANGAMA, les critiques sans retenues d’ABDALLAH AGOI, s’ils étaient proférées par un anjouanais et de surcroît un partisan JUWA, sa mort serait assurée.
C’est partant d’une telle analyse que l’on peut concevoir avec une grosse probabilité l’assassinat possible de l’ancien Président SAMBI. Cette grande personnalité qui hante les nuits du dictateur AZALI.
En commettant ce crime programmé, AZALI signerait sa mort suivie de celle de toute sa famille et ainsi plonger les Comores dans la guerre. Tant pis, s’il minimise l’impact d’un tel drame.
Ainsi pour se rapprocher du régime hors la loi et mafieux d’AZALI, les arrivistes courtisans commencent par s’en prendre à SAMBI et le parti JUWA. Et l’on procède à un tri sélectif en commençant à agrandir le cercle par les plus bêtes.

Je salue l’engagement de MCHANGAMA, d’AGOI contre la dictature, mais cela ne doit pas voiler la phobie d’AZALI envers SAMBI déclenchant une haine viscérale contre tous ceux qui sont proches de SAMBI. Cette forme de folie déstabilise AZALI et le rend anjouanophobe.
Le message de nos députés est claire: ils ont besoin du peuple pour arrêter la folie irrémédiable d’un homme au sommet d’un Etat dont il a décapité toutes institutions à pouvoir contraignant: Cour Constitutionnelle, pouvoir judiciaire et hier samedi, il a en finir avec le dernier pouvoir encore débout: le pouvoir législatif.

BEN ALI.

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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