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L’avocat de Bobocha se dit « menacé et sous pression »

L’avocat de Bobocha serait menacé, il a fait des révélations importantes ce soir sur l’affaire Bobocha. Voici ses déclarations :

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2 commentaires sur L’avocat de Bobocha se dit « menacé et sous pression »

  1. Maitre Gerard,
    Je suis satisfait d’observer que vous avez la défense de BOBOCHA. Votre engagement pour le respect des droit n’étonne personne. En un laps de temps, vous avez su mettre le doigt sur les défaillances relatives à l’enlèvement, la déportation et la détention arbitraire de BOBOCHA. Lorsque le fils de l’accusé s’est exprimé, j’ai entendu un paradoxe parlant. Il disait, je cite: Mon père va bien mais il est très malade sans bénéficier d’une consultation ou des soins médicaux. Tout était dans cette phrase pour celui qui voulait comprendre. Alors pas surpris de votre démarche et du sens de vos propos. Cependant, croire que la commission africaine pour les droits des détenus pourrait agir en faveur du respect des droits, c’est oublier qu’elle demeure une annexe de l’UA qui elle est aux ordres de la communauté internationale qui demeure, elle aussi, un jouet des 5 membres du conseil de sécurité de ce qui aurait pu être les nations unies. Ils se sont partagés le monde en 1884, à BERLIN, puis au lendemain de la guerre de 1939-1945 à YALTA. Depuis, le sort de chacune des nations dépend de la volonté du propriétaire du pré carré où se trouve chaque nation. S’agissant des pays francophones d’afrique, Paris reste le néo-colon. Et le silence de Paris devant les injustices que subissent le peuple comorien, les enlèvements, les tortures, les humiliations, les détentions arbitraires et les assassinats contre celles et ceux qui osent s’exprimer, laisse penser à une validation pour ces forfaitures immondes. Oui pour la plainte, histoire de prendre le citoyen africain à témoin même si pour l’heure, il n’est pas encore en capacité de modifier grand chose. Il se dira qu’il n’est pas seul à subir les méfaits de l’absence d’un état de droit. Le CNDHL est juste un Centre National De Détention pour les Hommes libres, un instrument pour le régime dictatoriale.

  2. Maitre Gerard,
    Je suis satisfait d’observer que vous avez la défense de BOBOCHA. Votre engagement pour le respect des droit n’étonne personne. En un laps de temps, vous avez su mettre le doigt sur les défaillances relatives à l’enlèvement, la déportation et la détention arbitraire de BOBOCHA. Lorsque le fils de l’accusé s’est exprimé, j’ai entendu un paradoxe parlant. Il disait, je cite: Mon père va bien mais il est très malade sans bénéficier d’une consultation ou des soins médicaux. Tout était dans cette phrase pour celui qui voulait comprendre. Alors pas surpris de votre démarche et du sens de vos propos. Cependant, croire que la commission africaine pour les droits des détenus pourrait agir en faveur du respect des droits, c’est oublier qu’elle demeure une annexe de l’UA qui elle est aux ordres de la communauté internationale qui demeure, elle aussi, un jouet des 5 membres du conseil de sécurité de ce qui aurait pu être les nations unies. Ils se sont partagés le monde en 1884, à BERLIN, puis au lendemain de la guerre de 1939-1945 à YALTA. Depuis, le sort de chacune des nations dépend de la volonté du propriétaire du pré carré où se trouve chaque nation. S’agissant des pays francophones d’afrique, Paris reste le néo-colon. Et le silence de Paris devant les injustices que subissent le peuple comorien, les enlèvements, les tortures, les humiliations, les détentions arbitraires et les assassinats contre celles et ceux qui osent s’exprimer, laisse penser à une validation pour ces forfaitures immondes. Oui pour la plainte, histoire de prendre le citoyen africain à témoin même si pour l’heure, il n’est pas encore en capacité de modifier grand chose. Il se dira qu’il n’est pas seul à subir les méfaits de l’absence d’un état de droit. Le CNDHL est juste un Centre National De Détention pour les Homicides Liberticides, un instrument pour le régime dictatoriale.

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